59 points à connaître sur MiFIR et MiFID II en fiscalité et…

Le paysage financier, en constante évolution, est fortement influencé par les réglementations MiFIR (Markets in Financial Instruments Regulation) et MiFID II (Markets in Financial Instruments Directive II). Ces directives, mises en place pour renforcer la transparence et la protection des investisseurs, ont des implications profondes sur la fiscalité et les obligations déclaratives des acteurs du marché. Comprendre ces implications est essentiel pour les professionnels de la finance souhaitant naviguer avec succès dans cet environnement complexe.

L'objectif de cet article est de fournir une vue d'ensemble exhaustive des implications fiscales de MiFIR et MiFID II, tout en offrant des perspectives pratiques et des conseils pour s'y conformer efficacement. Nous explorerons en détail les impacts directs sur la fiscalité, les déclarations et le reporting, la conformité fiscale et la gestion des risques, ainsi que les opportunités offertes par la transformation digitale. Enfin, nous aborderons les défis futurs et les perspectives d'évolution de la réglementation fiscale dans ce contexte. Êtes-vous prêt à plonger au cœur de la fiscalité MiFIR/MiFID II ?

Fondamentaux de MiFIR et MiFID II

Avant d'aborder les implications fiscales, il est crucial de comprendre les fondements de MiFIR et MiFID II, le cadre réglementaire qu'elles établissent et les objectifs qu'elles visent. Ces réglementations ont radicalement transformé la manière dont les marchés financiers fonctionnent, et il est essentiel de les situer dans un contexte plus large pour saisir pleinement leur impact sur la fiscalité. Nous allons donc passer en revue les définitions et portées de ces directives, ainsi que les acteurs concernés.

Définition et portée de MiFID II

MiFID II, ou Directive sur les marchés d'instruments financiers II, est une réglementation européenne entrée en vigueur le 3 janvier 2018. Elle vise à renforcer la transparence et la protection des investisseurs dans les marchés financiers. MiFID II élargit la portée de la directive MiFID originale, en introduisant des exigences plus strictes en matière de gouvernance, d'exécution des ordres et de transparence des transactions. Elle s'applique à un large éventail d'instruments financiers, notamment les actions, les obligations, les produits dérivés et les parts d'organismes de placement collectif.

Définition et portée de MiFIR

MiFIR, ou Règlement sur les marchés d'instruments financiers, vient compléter la directive MiFID II en renforçant la transparence des marchés financiers et en améliorant la surveillance des transactions. Ce règlement introduit des obligations de reporting transactionnel plus strictes et impose des règles spécifiques en matière de négociation sur les plateformes organisées. Il s'applique également aux entreprises d'investissement qui négocient des instruments financiers pour leur propre compte ou pour le compte de leurs clients. MiFIR et MiFID II travaillent de concert pour un marché financier plus sûr et transparent.

Objectifs principaux de MiFID II et MiFIR

  • **Protection des investisseurs :** Renforcer la protection des investisseurs en assurant une plus grande transparence et en améliorant la qualité des conseils fournis.
  • **Transparence des marchés :** Accroître la transparence des marchés financiers en imposant des obligations de reporting plus strictes.
  • **Efficacité des marchés :** Améliorer l'efficacité des marchés financiers en favorisant une concurrence équitable et en réduisant les risques systémiques.
  • **Harmonisation de la réglementation :** Harmoniser la réglementation des marchés financiers au niveau européen.

Acteurs concernés par ces réglementations

MiFID II et MiFIR affectent un large éventail d'acteurs du marché financier, y compris, mais sans s'y limiter, les entreprises d'investissement, les marchés réglementés, les systèmes multilatéraux de négociation (SMN), les systèmes organisés de négociation (SON), les fournisseurs de données, les gestionnaires d'actifs et les investisseurs institutionnels. Par exemple, les entreprises d'investissement doivent se conformer aux exigences en matière de gouvernance et de reporting, tandis que les marchés réglementés doivent assurer la transparence et l'intégrité de leurs plateformes de négociation. Les gestionnaires d'actifs sont tenus de fournir des informations plus détaillées sur leurs stratégies d'investissement et leurs coûts. Cette réglementation a un impact profond sur toute la chaîne de valeur financière. Comment votre entreprise est-elle impactée par ces réglementations ?

Impact direct de MiFIR et MiFID II sur la fiscalité (points 1 à 20)

Cette section explore l'impact direct de MiFIR et MiFID II sur la fiscalité. Nous analyserons en détail comment ces réglementations affectent l'identification des instruments financiers, la transparence des transactions, le traitement fiscal des incitations et des rétrocessions, les obligations de rapport et d'autres aspects cruciaux de la fiscalité financière. Comprendre ces implications est essentiel pour optimiser la gestion fiscale et garantir la conformité réglementaire. Êtes-vous prêt à explorer les complexités de la fiscalité post-MiFID II ?

Identification des instruments financiers

L'impact de la classification MiFID II sur le traitement fiscal des produits dérivés est significatif. La manière dont un instrument financier est classifié affecte directement son traitement fiscal, notamment en termes de qualification des revenus (revenus de capitaux mobiliers, plus-values, etc.) et de déductibilité des charges. Une classification erronée peut entraîner des erreurs dans les déclarations fiscales et des redressements fiscaux potentiels. Il est donc crucial de bien comprendre les critères de classification MiFID II et leur incidence sur la fiscalité. Par exemple, certains produits dérivés peuvent être considérés comme des instruments complexes et bénéficier d'un régime fiscal spécifique. Comment la classification de vos instruments financiers impacte-t-elle votre fiscalité ?

Transparence des transactions

La transparence accrue, imposée par MiFIR, affecte la détermination des revenus imposables. Cette transparence accrue facilite le suivi des transactions et la détermination des plus-values ou moins-values réalisées, impactant directement le calcul de l'impôt dû. La directive, en rendant plus accessibles les informations sur les transactions, permet aux autorités fiscales de mieux contrôler les opérations financières et de détecter les éventuelles fraudes fiscales. Ainsi, une traçabilité renforcée permet d'éviter certaines optimisations fiscales agressives qui étaient auparavant plus difficiles à détecter. Conformément à l'article 16 du règlement MiFIR, les entreprises d'investissement doivent conserver un enregistrement de toutes leurs transactions pendant une période de cinq ans.

Meilleure exécution et impact fiscal

L'obligation de meilleure exécution, imposée par MiFID II, a un impact direct sur le calcul des plus-values/moins-values et la gestion des coûts d'exécution. En effet, la recherche de la meilleure exécution possible peut influencer le prix d'achat ou de vente d'un instrument financier, affectant ainsi le montant des plus-values ou moins-values réalisées. Il est donc essentiel de prendre en compte l'impact de la meilleure exécution sur la performance fiscale du portefeuille. La directive MiFID II vise à optimiser les coûts pour les investisseurs, et cela peut indirectement influencer leur situation fiscale. Avez-vous intégré l'impact de la meilleure exécution dans votre stratégie fiscale ?

Incitations et rétrocessions

Le traitement fiscal des incitations et des rétrocessions perçues ou versées est un point essentiel à considérer. Les incitations et les rétrocessions, souvent perçues par les conseillers financiers, doivent être déclarées et peuvent être soumises à l'impôt sur le revenu ou à la TVA. Il est donc crucial de bien comprendre les règles fiscales applicables à ces types de revenus. Par exemple, certaines rétrocessions peuvent être considérées comme des revenus de capitaux mobiliers, tandis que d'autres peuvent être soumises à la TVA. En France, selon l'article 28 de la loi de finances rectificative pour 2012, les incitations perçues par les conseillers financiers sont soumises à l'impôt sur le revenu. Comment déclarez-vous vos incitations et rétrocessions ?

Inducements

L'impact sur les déductions fiscales des dépenses liées aux inducements mérite une attention particulière. Les inducements, ou avantages perçus par les entreprises d'investissement, peuvent avoir un impact sur la déductibilité des dépenses fiscales. En effet, certaines dépenses liées aux inducements peuvent ne pas être déductibles si elles ne sont pas considérées comme étant dans l'intérêt du client. Il est donc primordial de bien analyser la nature des inducements et leur incidence sur la déductibilité des dépenses. Les nouvelles règles d'inducements visent à accroître la transparence et à aligner les intérêts des entreprises d'investissement avec ceux de leurs clients.

Impacts additionnels sur la fiscalité

  • Traitement fiscal des coûts de la recherche indépendante.
  • Incidence sur les obligations de déclaration fiscale (ex: FATCA, CRS).
  • Impact de l'obligation de reporting transactionnel (MiFIR) sur le contrôle fiscal.
  • Conséquences fiscales de l'utilisation de services Data Reporting Services Providers (DRSPs).
  • Comment l'obligation de meilleure exécution impacte la performance fiscale du portefeuille.
  • Conséquences pour la fiscalité des mandats de gestion de portefeuille.
  • Traitement fiscal des produits structurés sous MiFID II (complexité accrue).

Déclarations et reporting (points 21 à 40)

Cette section met l'accent sur les aspects déclaratifs et de reporting liés à MiFIR et MiFID II. La conformité aux obligations de reporting est un élément clé pour éviter les sanctions et garantir la transparence fiscale. Nous examinerons comment le reporting transactionnel est lié à la fiscalité, l'importance de l'identification unique des clients (LEI), les spécificités des formats et du timing des déclarations, ainsi que les défis des déclarations multi-juridictionnelles. De plus, nous discuterons de l'auditabilité des déclarations et de la nécessité de la conservation des données fiscales. Le reporting MiFIR/MiFID II vous semble-t-il complexe ?

Reporting transactionnel et fiscalité

La liaison entre le reporting MiFIR et les déclarations fiscales est un élément central de la conformité. Les informations collectées dans le cadre du reporting MiFIR peuvent être utilisées par les autorités fiscales pour contrôler les déclarations et détecter les éventuelles anomalies. Il est donc essentiel de s'assurer de la cohérence entre les données déclarées dans le cadre du reporting MiFIR et celles utilisées pour les déclarations fiscales. Les entreprises doivent mettre en place des procédures internes pour garantir cette cohérence et éviter les erreurs ou les omissions. Ce reporting inclut, par exemple, l'identification des acheteurs et des vendeurs, les détails des transactions, et les instruments financiers concernés.

Identification unique des clients (LEI)

L'importance du LEI (Legal Entity Identifier) pour l'identification fiscale des clients est cruciale. Le LEI est un identifiant unique attribué aux entités juridiques participant aux transactions financières. Il permet d'identifier les clients de manière fiable et de faciliter l'échange d'informations entre les différentes parties prenantes, y compris les autorités fiscales. Le LEI est donc un élément essentiel pour la conformité fiscale et le reporting transactionnel. En Europe, plus de 2 millions d'entités juridiques ont enregistré un LEI, selon les données de la Global Legal Entity Identifier Foundation (GLEIF). Disposez-vous d'un LEI valide pour vos clients ?

Spécificités des déclarations et reporting

  • Comment déclarer les rémunérations perçues en lien avec MiFID II.
  • Spécificités des formats de déclaration pour la conformité fiscale MiFID II.
  • Respect des délais de déclaration fiscale impactés par MiFID II.
  • Gérer les complexités des déclarations fiscales dans plusieurs pays.
  • Préparation pour les audits fiscaux liés à la conformité MiFID II.

Conservation des données

Les obligations de conservation des données fiscales en lien avec les transactions MiFID II sont primordiales. Les entreprises sont tenues de conserver les données relatives aux transactions pendant une période déterminée, généralement plusieurs années, afin de pouvoir les présenter aux autorités fiscales en cas de contrôle. Il est donc essentiel de mettre en place des systèmes de stockage et d'archivage des données conformes aux exigences légales. En France, la durée de conservation des documents comptables est généralement de 10 ans. Comment assurez-vous la conservation sécurisée de vos données fiscales ?

Conformité fiscale et gestion des risques (points 41 à 50)

La conformité fiscale et la gestion des risques sont des éléments essentiels pour assurer la pérennité et la réputation des entreprises financières. Cette section aborde l'évaluation des risques fiscaux liés à MiFID II, la mise en place d'une politique de conformité fiscale robuste, la surveillance des transactions, l'analyse des schémas fiscaux agressifs, et le renforcement des procédures de contrôle interne. De plus, nous discuterons de l'opportunité d'externaliser la conformité fiscale et de l'importance du dialogue avec les auditeurs. Enfin, nous examinerons les conséquences des non-conformités fiscales et les options d'assurance de la conformité fiscale. Comment votre entreprise gère-t-elle les risques fiscaux liés à MiFIR/MiFID II ?

Évaluation des risques fiscaux

L'identification et l'évaluation des risques fiscaux liés à MiFID II sont un processus crucial. Les risques fiscaux peuvent prendre différentes formes, telles que des erreurs dans les déclarations, des interprétations divergentes de la réglementation, ou des schémas d'optimisation fiscale trop agressifs. Il est donc primordial de mettre en place un système d'évaluation des risques qui permette d'identifier, d'évaluer et de gérer ces risques de manière proactive. Une cartographie des risques fiscaux permet de prioriser les actions à mettre en place et d'allouer les ressources de manière efficace.

Politique de conformité fiscale

La mise en place d'une politique de conformité fiscale robuste est indispensable. Cette politique doit définir les principes et les procédures à suivre pour assurer la conformité aux obligations fiscales. Elle doit également préciser les rôles et les responsabilités de chaque acteur impliqué dans le processus de conformité fiscale. Une politique de conformité fiscale bien définie permet de prévenir les erreurs et les omissions, de réduire les risques fiscaux et de renforcer la confiance des investisseurs et des autorités fiscales. Bien que difficile à quantifier précisément, on observe une corrélation positive entre la mise en place d'une politique de conformité et la réduction des risques fiscaux au sein des institutions financières. Avez-vous une politique de conformité fiscale documentée et régulièrement mise à jour ?

Tableau : risques fiscaux communs liés à MiFID II

Risque Fiscal Description Conséquences Potentielles
Mauvaise Classification des Instruments Financiers Erreurs dans la classification des produits dérivés et autres instruments financiers. Redressements fiscaux, pénalités financières.
Non-Déclaration des Incitations et Rétrocessions Omission de déclarer les incitations et rétrocessions perçues. Impôt sur le revenu non payé, pénalités.
Non-Conformité au Reporting Transactionnel Erreurs ou omissions dans le reporting transactionnel MiFIR. Sanctions réglementaires, amendes.

Surveillance des transactions et analyse des schémas d'optimisation fiscale

La surveillance des transactions pour la détection des anomalies fiscales est une activité essentielle. Les entreprises doivent mettre en place des systèmes de surveillance qui permettent de détecter les transactions suspectes ou atypiques qui pourraient indiquer une fraude fiscale ou un schéma d'optimisation fiscale trop agressif. Ces systèmes doivent être capables d'analyser un grand volume de données et de générer des alertes en cas d'anomalie. L'analyse des schémas d'optimisation fiscale est également une tâche importante pour prévenir les risques fiscaux. Les entreprises doivent être en mesure d'identifier et d'évaluer les schémas qui pourraient être considérés comme abusifs par les autorités fiscales. Il est crucial d'éviter les montages qui ont pour seul but de réduire l'impôt.

Tableau : bonnes pratiques pour la gestion des risques fiscaux

Pratique Description Bénéfices
Évaluation régulière des risques Effectuer des évaluations périodiques des risques fiscaux. Identification proactive des risques, meilleure allocation des ressources.
Formation du personnel Former le personnel aux obligations fiscales. Réduction des erreurs, amélioration de la conformité.
Audit interne Réaliser des audits internes réguliers. Détection des faiblesses, amélioration des procédures.

Transformation digitale et nouvelles technologies (points 51 à 55)

La transformation digitale et l'adoption de nouvelles technologies offrent des opportunités considérables pour améliorer la conformité fiscale et la gestion des risques. Cette section explore l'utilisation du Big Data pour l'analyse fiscale, l'application de l'Intelligence Artificielle (IA) pour automatiser les tâches de conformité fiscale, l'impact potentiel de la blockchain sur la transparence des opérations fiscales, et l'utilisation sécurisée du cloud computing pour le stockage des données fiscales. De plus, nous discuterons de l'adoption des solutions RegTech pour faciliter la conformité fiscale. Comment la transformation digitale peut-elle simplifier votre conformité fiscale ?

Digitalisation, IA, et blockchain

  • **Utilisation du Big Data pour l'analyse fiscale et la détection des anomalies :** Le Big Data permet d'analyser d'immenses volumes de données financières et fiscales pour identifier des tendances suspectes et des anomalies qui pourraient indiquer une fraude fiscale. Les algorithmes de Machine Learning peuvent être utilisés pour détecter des schémas complexes et prédire les risques fiscaux potentiels. Par exemple, l'analyse des données transactionnelles peut révéler des opérations atypiques qui nécessitent une investigation plus approfondie.
  • **Exploitation de l'IA pour automatiser les tâches de conformité fiscale :** L'Intelligence Artificielle peut automatiser de nombreuses tâches fastidieuses et répétitives liées à la conformité fiscale, telles que la collecte et le traitement des données, la préparation des déclarations fiscales et la surveillance des transactions. Les chatbots peuvent également être utilisés pour répondre aux questions des clients et des employés sur les questions fiscales. Des entreprises comme TaxAI développent des solutions d'IA pour la conformité fiscale.
  • **Impact potentiel de la blockchain sur la transparence et la traçabilité des opérations fiscales :** La blockchain pourrait révolutionner la transparence des opérations financières en créant un registre immuable et transparent de toutes les transactions. Cela pourrait faciliter le contrôle fiscal et réduire les risques de fraude. L'utilisation de smart contracts pourrait également automatiser le paiement des impôts et taxes.
  • **Utilisation sécurisée du cloud computing pour le stockage des données fiscales :** Le cloud computing offre une solution sécurisée et flexible pour le stockage des données fiscales. Les fournisseurs de services cloud investissent massivement dans la sécurité pour protéger les données de leurs clients contre les cyberattaques. Le cloud permet également aux entreprises d'accéder à leurs données fiscales depuis n'importe où et à tout moment.
  • **Adoption des solutions RegTech pour faciliter la conformité fiscale :** Les solutions RegTech (Regulatory Technology) sont des technologies innovantes qui aident les entreprises à se conformer aux réglementations financières. Ces solutions peuvent automatiser les tâches de conformité, améliorer la transparence et réduire les coûts. Des exemples de solutions RegTech incluent les systèmes de reporting transactionnel, les outils de surveillance des transactions et les plateformes de gestion des risques. Un exemple est la plateforme VerifyiD, qui automatise la vérification de l'identité des clients.

Perspectives et défis futurs (points 56 à 59)

Le paysage réglementaire et fiscal est en constante évolution. Cette section aborde l'évolution de la réglementation fiscale internationale, l'adaptation aux nouvelles technologies, l'importance de la formation continue pour les professionnels de la finance et de la fiscalité, et la nécessité de la collaboration et du partage des meilleures pratiques en matière de conformité fiscale. Anticiper les changements et rester à jour avec les dernières évolutions est essentiel pour assurer la conformité et gérer efficacement les risques. Quel est l'avenir de la conformité fiscale dans le secteur financier ?

La conformité aux réglementations MiFIR et MiFID II est une affaire complexe qui nécessite une attention constante et une expertise approfondie. Les professionnels de la finance doivent se tenir informés des dernières évolutions réglementaires, adapter leurs pratiques en conséquence et investir dans les technologies et les outils appropriés pour assurer la conformité et gérer les risques de manière efficace. Le partage des connaissances et des meilleures pratiques entre les acteurs du marché est également essentiel pour relever les défis futurs et construire un système financier plus transparent et plus résilient.